Ce billet semble marquer le retour du bon sens.

Je me souviens qu'ayant donné mon aîné (alors unique, pas encore aîné), bébé, à garder à une amie, celle-ci m'avait demandé, assez désemparée:
— Qu'est-ce qu'il faut faire ?
— C'est assez simple: quand il a faim, tu lui donnes à manger, et quand il est fatigué, tu le couches.

Elle était restée très embarrassée mais j'étais partie sans pitié (et sans beaucoup d'inquiétude).

Quelques années plus tard, devenue mère, elle m'avait dit en riant: «finalement tu avais raison, c'est tout à fait ça!»
(ce qui fait toujours plaisir).