Billets qui ont 'Colline aux coquelicots (La)' comme oeuvre.

Fortitude

J'ai découvert ces photos grâce à l'un de mes blogs favoris.

J'ai mis un moment à comprendre de quoi il s'agissait.
C'est merveilleux. Terrible et merveilleux. If… de Kipling à l'échelle d'un peuple.


Cela me rappelle quelque chose qui m'a touchée dans La Colline aux coquelicots: l'évocation simple, sans commentaire, d'un père disparu à la guerre, d'une mère morte des radiations nucléaires. Aucun commentaire, ces événements ne nécessitent ni explication, ni regret exprimé, ni compassion visible. Il faut vivre, prendre des décisions, continuer. La compassion s'exprime par des actes et non des mots. L'action se déroule en 1963, le pays prépare les jeux olympiques de 1964.

Samedi

Vendredi soir Bartok, samedi matin le discours de Paul aux Athéniens, samedi après-midi La Colline aux coquelicots.

Bibliothèque verte ou rose (Paul-Jacques Bonzon), très grande beauté du dessin, des arrières-plans, les carreaux de la paillasse dans la cuisine, le gros plan sur le brûleur de la cuisinière, les beignets de poisson qui cuisent, la mer, les arbres, le feuillage des arbres. Je n'aime pas les visages des mangas, ces expressions qui se résument à deux ou trois, larmes, sourire, rire et cri (ça fait quatre).

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