Adieu à 2019 sans regret
Par Alice, mardi 31 décembre 2019 à 23:29 :: 2019
Quelle année infernale.
Passé au bureau pour gérer les urgences (tout va bien finalement). Coiffeur, achat d'un sac de voyage pour la chatte (je le note car pour la première fois depuis ses deux ou trois mois (elle a quatorze ans) nous allons l'emmener avec nous: à son âge, je n'ose pas la laisser seule sans sa sœur).
Le rendez-vous avec la RH a été annulé. Jumandji 3. C'est poussif, en fait sans intérêt (bon, le deuxième peut-être aussi, mais j'avais bien aimé l'imitation du jeu vidéo, les personnages de jeu avec un nombre limité de répliques, etc. Le troisième film est réellement très pauvre). En revanche j'admire les sous-titres, non littéraux mais qui rendent très bien l'esprit des répliques.
Ladurée. Macarons et café viennois. J'écris des cartes de Noël. H. me rejoint. Nous allons au théâtre à neuf heures, nous n'avons rien prévu et entrons dans une brasserie parce que son nom nous plaît: "le non coupable".
Grave erreur, les serveurs sont totalement à l'ouest. Un jeune couple entre, s'installe à côté de nous. Le jeune homme se voit apporter un hamburger, il demande du sel et attend le plat de sa compagne; un serveur revient, lui prend son assiette en disant ce n'était pas pour lui (et va la donner à une autre table, sans se préoccuper de savoir si l'assiette a été touchée ou pas). Le jeune homme en reste bouche bée. Plus tard quand le couple est servi, le jeune homme redemande le sel qu'il n'a toujours pas eu; le serveur se penche vers une table voisine, sans un mot saisit la ménagère, la met sur la tabe vide entre les deux et s'en va.
Le jeune homme éberlué se tourne vers nous: «Vous voulez des frites? On peut partager, c'est le style ici». Nous sommes hilares: «moi il me reste des glaçons, si vous voulez.»
La Machine de Türing. Je connais l'histoire par cœur, l'intérêt est la mise en scène, la façon de raconter l'histoire avec deux personnages. L'accent est entièrement sur l'homophobie et l'injustice et très peu sur le décryptage du code.
Je note que comme pour le déchiffrement de l'accadien, ce sont les suscriptions qui ont permis de comprendre le langage inconnu.
Un pot au café de la Madeleine, avec des serveurs infiniment plus enjoués que les précédents.
Passé au bureau pour gérer les urgences (tout va bien finalement). Coiffeur, achat d'un sac de voyage pour la chatte (je le note car pour la première fois depuis ses deux ou trois mois (elle a quatorze ans) nous allons l'emmener avec nous: à son âge, je n'ose pas la laisser seule sans sa sœur).
Le rendez-vous avec la RH a été annulé. Jumandji 3. C'est poussif, en fait sans intérêt (bon, le deuxième peut-être aussi, mais j'avais bien aimé l'imitation du jeu vidéo, les personnages de jeu avec un nombre limité de répliques, etc. Le troisième film est réellement très pauvre). En revanche j'admire les sous-titres, non littéraux mais qui rendent très bien l'esprit des répliques.
Ladurée. Macarons et café viennois. J'écris des cartes de Noël. H. me rejoint. Nous allons au théâtre à neuf heures, nous n'avons rien prévu et entrons dans une brasserie parce que son nom nous plaît: "le non coupable".
Grave erreur, les serveurs sont totalement à l'ouest. Un jeune couple entre, s'installe à côté de nous. Le jeune homme se voit apporter un hamburger, il demande du sel et attend le plat de sa compagne; un serveur revient, lui prend son assiette en disant ce n'était pas pour lui (et va la donner à une autre table, sans se préoccuper de savoir si l'assiette a été touchée ou pas). Le jeune homme en reste bouche bée. Plus tard quand le couple est servi, le jeune homme redemande le sel qu'il n'a toujours pas eu; le serveur se penche vers une table voisine, sans un mot saisit la ménagère, la met sur la tabe vide entre les deux et s'en va.
Le jeune homme éberlué se tourne vers nous: «Vous voulez des frites? On peut partager, c'est le style ici». Nous sommes hilares: «moi il me reste des glaçons, si vous voulez.»
La Machine de Türing. Je connais l'histoire par cœur, l'intérêt est la mise en scène, la façon de raconter l'histoire avec deux personnages. L'accent est entièrement sur l'homophobie et l'injustice et très peu sur le décryptage du code.
Je note que comme pour le déchiffrement de l'accadien, ce sont les suscriptions qui ont permis de comprendre le langage inconnu.
Un pot au café de la Madeleine, avec des serveurs infiniment plus enjoués que les précédents.