Courses le matin, repassage l'après-midi.
Addiction : je ne sais plus quand j'ai commencé
Shameless (américain), mais j'en suis à la saison 7, soit quatre-vingt-deux heures de film en une semaine à peu près.
Je suis impressionnée par le nombre de bipolaires dans les séries américaines:
Homeland bien sûr,
Six feet under,
Ozark,... Cela paraît aussi populaire que l'autisme en France.
Les premières saisons concernent des frappadingues à la lisière de la parodie, avec des incursions dans les sujets de société, dont le premier serait la fertilité des pauvres et les ado enceintes.
A partir de la saison 7, ça vire à l'actualité, LGBT trans, queer, iel, #metoo, la lutte contre la culture du viol, la fin du rêve américain, le racisme… Tout bien évalué, entre la lutte contre les démons intérieurs (alcool, drogues), l'arnaque, le cul (jamais vu autant baiser dans une série américaine), la dénonciation des hipsters et leur yoga et leur bublletea, la série est plutôt pédagogique.