Bien failli ne pas aller ramer: une voiture qui ne démarrait pas, l'autre qui n'avait plus d'essence alors que j'étais déjà en retard. Mais il faisait si beau, c'est si important de profiter de tout cela, avant le mauvais temps et les crues.

Yolette de couple: Franck, Stéphane, Carole, moi, Yannick.
Trois photos de suite pratiquement au même endroit. Coup de chance.





Spectre. La salle de ma ville est pleine. Bien moins trépidant que le précédent, pas de scène marquante même si je suppose que les courses poursuites sont des chefs d'œuvre de précision. Il y a vraiment trop de données sorties d'un chapeau (comment M. sait-elle qu'il faut assister à l'enterrement du mafieux? Comment connaît-elle ce mafieux? Est-il vraisemblable que Bond ne neutralise pas la caméra du roi pâle? etc, etc…)
L'inquiétude mise en scène est celle que nous sommes en train de vivre: doit-on accepter la collecte de l'information au prix de la disparition de toute vie privée, à laquelle s'ajoute la question classique: doit-on admettre un gouvernement fort au prétexte de rétablir et maintenir l'ordre et la paix? (mais peut-être faudrait-il problématiser la différence entre l'ordre et la paix).

Bataille autour de la tarte aux pommes quand soudain la voix du chef scout s'élève:
— La seule raison de regarder dans l'assiette de ton voisin, c'est de vérifier qu'elle est suffisamment remplie.
Ça m'a fait rire. Les principes simples, c'est structurant.