vendredi 4 décembre 1998
Par Alice,
vendredi 4 décembre 1998 à 12:39 :: 1998
écrit le 10 novembre 2015.
Au moment de jeter une offre de prêt (je récupère la signature de H pour faire un montage pour l'autorisation de conduite accompagnée!), j'en note les détails ici: 30.000 FF empruntés le 4 décembre 1998 (offre datée du 24/11/1998).
Prêt sur trois ans
Coût (intérêt, assurance, etc) : 4158,22 FF
Echéance : 940,51 FF
O. a à peine trois mois. H. est en train de créer A*k*m. Un seul salaire, le mien.
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vendredi 13 mars 1998
Par Alice,
vendredi 13 mars 1998 à 21:21 :: 1998
Il y a quelques temps H. discutait avec son coiffeur:
— Nous voudrions acheter une maison. Toi qui croises plein de monde, tu ne connaîtrais pas quelqu'un qui vend, par hasard?
— Si, moi.
Hervé connaît cette maison pour y être allé plusieurs fois dépanner l'ordinateur. Mais pas moi. Visite aujourd'hui. Il fait magnifiquement beau.
Le jardin est très grand, mais en fait nous n'en n'achèterons qu'une partie: le fond va être loti pour construction et le côté, sans clôture qui indique une limite, n'appartient pas au coiffeur. Il en a l'usage mais son propriétaire devrait lui aussi vendre la parcelle. Encore plus loin sur le côté un terrain clos et boisé est lui intouchable, sauf modification du POS.
La porte ouvre sur un couloir lambrissé. C'est très joli tout ce bois. L'escalier est en revanche très abîmé, presque blanc au niveau le plus usé des marches. Une pièce du rez-ce chaussée comporte une étagère, plutôt des casiers, sur tout le mur. Elle ou ils est remplie de 33 tours de jazz, c'est impressionnant.
A l'étage il n'y a que deux chambres, ce qui m'ennuie pour nos trois enfants. Dans celle du garçon (des propriétaires actuels) se trouve une cabane en bois fixée au mur, ce qui me ravit.
Le magnifique, c'est la baignoire monumentale en arc de cercle de la "suite parentale" sur fond de carreaux provençaux. C'est beau, cela fait envie (si je retrouve une photo, je la mettrai en ligne).
Cette pièce n'a de plafond que sur la moitié qui correspond au plancher d'une mezzanine, l'autre moitié monte jusqu'à la charpente, ce qui donne une hauteur de plafond appréciable (pour moi les plafonds sont toujours trop bas). Une porte sur la mezzanine permet d'accéder à un grenier sur le côté, au-dessus de la chambre des enfants.
C'est grand, c'est aéré. H. est enthousiaste. Il n'y a que deux chambres pour les enfants (plus la pièce des disques en bas, mais elle est en bas et la porte est vitrée), pas de garage. Surtout c'est toujours aussi loin de Paris. J'aurais préféré un appartement à Vincennes, quelque chose qui me permette d'aller travailler en vélo en cas de problèmes de transport (je suis obnubilée par la grève de 1995).
Mais H. est enthousiaste, il ne veut pas d'appartement plus petit plus près de Paris, il veut de la place, un jardin.
Bon, OK.
Ce n'est pas pour tout de suite: le coiffeur, Philippe, prévoit de déménager en juin 99. Nous allons signer une promesse d'achat et mettre notre appartement en vente.
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