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En fait, ce qui m'étonne le plus, c'est qu'avec un tel bilan, aussi peu de reconnaissance et autant d'emmerdes, il est envie d'y retourner.Inégalités : le bilan inattendu de Macron
On attendait le chef de l'Etat sur la lutte contre les inégalités de destin, mais les mesures socio-fiscales du quinquennat auront surtout réduit de façon plus classique les inégalités de niveau de vie. Avec un effet plus significatif des prestations sociales que des mesures fiscales.
Par Étienne Lefebvre
Publié le 13 oct. 2021 à 8:13Mis à jour le 14 oct. 2021 à 18:13
Emmanuel Macron n'est donc pas le président des riches. Ou en tout cas pas uniquement. L'évaluation, publiée par le Trésor la semaine dernière, de l'évolution du revenu disponible des ménages par décile de niveau de vie a fait ressortir des éléments factuels éclairants à l'heure du bilan du quinquennat.
D'abord, les gains de pouvoir d'achat depuis 2017 sont significatifs - +8 % en cinq ans. Ils concernent ensuite tous les niveaux de revenus et sont pour une part importante liés aux mesures prises par le gouvernement. Enfin et surtout, ces mesures sociales et fiscales auront bénéficié davantage au premier décile (les 10 % les plus pauvres), avec un gain de 4 % de pouvoir d'achat à la clé, qu'aux 10 % les plus riches (+2 %).
Cachez ce dernier centile
Il faut bien évidemment nuancer ce constat. Bercy n'a pas choisi cet indicateur au hasard, et certains points de méthodologie peuvent être discutés. Exemple : le coût de la flat tax pour les finances publiques est minoré du fait du versement accru de dividendes, de même que l'effet de la hausse de la fiscalité sur le tabac est minoré en tenant compte des changements de comportement induits (baisse de la consommation). Par ailleurs, le calcul concernant le dernier centile (les 1 % les plus riches) n'apparaît pas, alors qu'il ferait sans doute apparaître des gains plus importants en raison de la concentration des gains liés à la réforme de la fiscalité du capital (ISF, flat tax). En revanche, le reproche sur le fait que les calculs sont présentés en pourcentage de niveau de vie et non en valeur absolue est peu pertinent : il s'agit de la méthode de référence de toutes les études en matière d'inégalité.
D'autres travaux indépendants (dont ceux de l'Institut des politiques publiques) apporteront leur pierre à l'édifice ces prochaines semaines. Mais une chose est sûre : si les résultats publiés par le Trésor ont pu surprendre, voire agacer, c'est en raison de la focalisation du débat public sur les impôts, et de la sous-estimation de l'impact d'autres facteurs bien plus importants concernant la lutte contre les inégalités.
Les effets musclés du « 100 % Santé »
Les prestations sociales assurent davantage que la fiscalité un rôle de redistribution. Pour ce quinquennat, la forte hausse de certains minima sociaux (allocation adulte handicapée, minimum vieillesse, parent isolé) a un impact important pour les premiers déciles, de même que l'élargissement et la revalorisation de la prime d'activité pour les travailleurs pauvres (qui a rajouté quasiment un treizième mois à un célibataire au SMIC).
Et il ne faut pas oublier bien d'autres « petites » mesures aux effets déterminants pour certaines populations. A l'instar de la prise en charge à 100 % d'une partie des soins dentaires, d'optique et d'audioprothèses, ou encore de la Garantie jeunes (pour les jeunes ni en emploi ni en formation), dont le gouvernement s'apprête à annoncer une nouvelle extension.
L'édition 2021 de l'Insee sur Les revenus et le patrimoine des ménages est venue rappeler récemment que les transferts publics - entre prestations reçues et prélèvements acquittés - corrigent sensiblement des inégalités primaires très importantes en France. Ainsi, le revenu primaire moyen des 10 % les plus aisés est-il treize fois supérieur à celui des 10 % les plus pauvres. Mais ce ratio est ramené à sept après transferts monétaires.
Il tombe même à un contre trois pour le niveau de vie dit élargi, c'est-à-dire en prenant en compte non pas seulement les transferts monétaires, mais aussi les transferts en nature, comme l'éducation, la santé et le logement. Des services publics qui contribuent pour 50 % à la réduction des inégalités, souligne l'Insee. L'accès à des services publics gratuits ou à un coût plus faible que celui du marché a, de fait, une importante relative plus prononcée pour les moins aisés. Le système de santé et les aides au logement génèrent la redistribution la plus significative.
Une quarantaine de mesures intégrées
Une mesure telle que le dédoublement des classes de CP-CE1 en zone d'éducation prioritaire peut jouer aussi un rôle décisif. Inversement, la réforme durcissant les conditions d'indemnisation de l'assurance-chômage ou le calcul des APL en fonction des revenus récents (et non de ceux d'il y a deux ans) pénalisent les moins aisés.
Avec cette grille de lecture exhaustive, on comprend mieux, au final, pourquoi le bilan redistributif de la politique d'Emmanuel Macron apparaît beaucoup plus équilibré que certains voudraient le faire croire. L'évaluation du Trésor intègre les effets de pas moins d'une quarantaine de mesures socio-fiscales. La crise des « gilets jaunes » a changé la donne.
L'empilement plutôt que l'évaluation
On peut en revanche regretter un certain empilement des dépenses, surtout en fin de quinquennat, et le manque persistant d'évaluation des réformes qui sont menées. L'efficacité de la dépense, l'efficacité des services publics, en matière de redistribution notamment, devrait être bien davantage questionnée pour faciliter les choix collectifs difficiles qui devront être opérés ces prochaines années. Sachant que la hausse des dépenses publiques devra ralentir très fortement , ne serait-ce que pour stabiliser la dette après 2022.
Par ailleurs, Emmanuel Macron n'était pas vraiment attendu sur ce terrain classique (très social-démocrate) de la redistribution, mais davantage sur celui de la lutte contre les inégalités de destin, liées aux discriminations de tous types. Sur ce chantier de l'égalité des chances, le bilan est moins fourni, et les résultats ne pourront venir que d'un travail à plus long terme. De quoi inspirer, peut être, ceux qui auront la charge de nourrir le projet du chef de l'Etat pour 2022.
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