L'enfance du Christ
Par Alice, dimanche 12 janvier 2020 à 21:21 :: 2020
Concerts gais ce soir. C'est surtout l'occasion de revoir Zvezdo. Notre dernière rencontre date d'environ deux ans (c'était avant l'été il me semble. Pas 2019. 2018?) Nous discuterons après le concert de charges de travail, remboursement de santé, retraite, vacances…
Très beau concert, livret émouvant à la fin apaisée. Dommage de ne pas l'avoir programmé avant Noël. Au milieu du concert j'ai eu une révélation (épiphanie): Jésus a passé sa petite enfance à l'étranger, en milieu non juif. Cela rend d'autant plus étonnant qu'il prêche en synagogue à douze ans (Lc 2, 41-52) mais rend compte d'un point de vue humain de sa sensibilité au monde non juif.
Une plaquette nous est distribuée à l'entrée, elle nous raconte l'histoire de la pièce (Berlioz l'a signé d'un pseudonyme, Pierre Ducré, si bien que certaines personnes ont trouvé que «Voilà de la musique! […] Ce n'est pas votre M.Berlioz, en tout cas, qui fera jamais rien de pareil!»).
L'auteur de la plaquette nous donne également un résumé du livret, et commente, à propos de l'arrivée à Saïs:
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Agenda
Barré notre yolette le matin après avoir fait ramassage scolaire.
Je ramène Caro dans le 11e et vais à Bercy.
À couteaux tirés. Film agréable que j'ai pensé un instant se dérouler dans la campagne anglaise jusqu'à ce que je reconnaisse des lacs proches de Mystic River, Massachussets. Film à la Agatha Christie, avec une allusion à Hercule Poirot (le détective s'appelle Benoît Blanc, prononcé Blanque), à Watson et une pointe d'angélisme-fiction (la jeune fille qui vomit quand elle ment). Le suspense est construit de façon intéressante: beaucoup d'informations sont données au spectateur qui doit faire la gymnastique de se souvenir de ce que sait chaque personnage.
Daniel Craig s'est un peu empâté. Que cela doit être soulageant de ne plus se priver pour jouer James Bond (régime et musculation).
Très beau concert, livret émouvant à la fin apaisée. Dommage de ne pas l'avoir programmé avant Noël. Au milieu du concert j'ai eu une révélation (épiphanie): Jésus a passé sa petite enfance à l'étranger, en milieu non juif. Cela rend d'autant plus étonnant qu'il prêche en synagogue à douze ans (Lc 2, 41-52) mais rend compte d'un point de vue humain de sa sensibilité au monde non juif.
Une plaquette nous est distribuée à l'entrée, elle nous raconte l'histoire de la pièce (Berlioz l'a signé d'un pseudonyme, Pierre Ducré, si bien que certaines personnes ont trouvé que «Voilà de la musique! […] Ce n'est pas votre M.Berlioz, en tout cas, qui fera jamais rien de pareil!»).
L'auteur de la plaquette nous donne également un résumé du livret, et commente, à propos de l'arrivée à Saïs:
Après un périple éprouvant, nos réfugiés [la sainte Famille] atteignent enfin Saïs, où les attend un accueil des plus modernes: «Arrière, vils Hébreux! Les gens d'Egypte n'ont que faire de vagabonds et de lépreux!»
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Agenda
Barré notre yolette le matin après avoir fait ramassage scolaire.
Je ramène Caro dans le 11e et vais à Bercy.
À couteaux tirés. Film agréable que j'ai pensé un instant se dérouler dans la campagne anglaise jusqu'à ce que je reconnaisse des lacs proches de Mystic River, Massachussets. Film à la Agatha Christie, avec une allusion à Hercule Poirot (le détective s'appelle Benoît Blanc, prononcé Blanque), à Watson et une pointe d'angélisme-fiction (la jeune fille qui vomit quand elle ment). Le suspense est construit de façon intéressante: beaucoup d'informations sont données au spectateur qui doit faire la gymnastique de se souvenir de ce que sait chaque personnage.
Daniel Craig s'est un peu empâté. Que cela doit être soulageant de ne plus se priver pour jouer James Bond (régime et musculation).