Billets qui ont 'Ford, Harrison' comme nom propre.

Tweets retrouvés (6 octobre)

J'avais copié le 2 novembre ces tweets datant des environs du 6 octobre. Aujourd'hui 25 novembre je prends le temps de les commenter et de les mettre en ligne.


Le cheval blanc vu par Jean-Marc Geslot : un génial et très pratique résumé par l'exemple des courants historiographiques depuis le XIXe siècle

Des incipits réécrits par des mathématiciens signalés par Eris Lepoil

Une explication de la nécessité des compteurs électriques intelligents signalés sur Twiter par CPCHardware : en résumé, si vous ne voulez des voitures électriques sans nucléaire, vous avez intérêt à accepter ce compteur. Dans le cas contraire, la fourniture d'électricité sera erratique.

Philippe signale les cours au collège de France de Bénédicte Savoy sur le patrimoine artistique européen.

Différentes versions de Ford

Les vêtements traditionels des femmes en Islam (de toute beauté)

Un goéland sur une vitre

Un texte de 1986 rappelle comment l'Italie a triomphé des Brigades rouges : la sociologie et la psychologie plutôt que la répression (à bon entendeur, salut)

et pour Guillaume Ecclésiaste 3, 5

Indiana Jones et le crâne de cristal

(Vu mardi soir).
A lire ça et là quelques commentaires, j'avais peur de m'ennuyer. C'était moins pire que je ne l'avais craint — mais faible.

Lorsqu'on va voir Indiana Jones, on n'attend pas un film qui fasse référence au fait qu'on va voir un film d'Indiana Jones. On attend de l'action, des dialogues, une certaine gentillesse contrastant avec des dialogues incisifs — et le sourire d'Harrison Ford.




Trois exemples de référence dans la référence:

1/ les couleurs et la lumière
Les couleurs des scènes d'intérieur tournées en bibliothèque ou dans les cafés m'ont paru forcées, presque criardes, comme la couleur des films des années quarante (Autant en emporte le vent, par exemple). D'autre part, ces couleurs étaient trop lumineuses, comme vernies. J'ai ressenti un double malaise : on ne filmait pas une reconstitution de 1957, mais on tentait de filmer une reconstitution de 1957 comme si on était en 1957 (indice: la couleur), cependant en utilisant les produits actuels (indice: le côté vernis des couleurs).
Une maladresse et une erreur se superposent donc.

2/ La musique

Le leitmotiv des films d'Indiana Jones intervient pendant certaines scènes d'action comme un contrepoint ironique: à quoi bon tourner une scène d'action en faisant en sorte de distraire le spectateur de sa frousse et du plaisir du suspense?

3/ Le rappel de l'âge d'Indiana
Une fois, deux fois… A la troisième ce n'est plus drôle et cela devient gênant, presque une incorrection.

Ajoutons à cela quelques faiblesses de scénario et de dialogues, des incohérences (si le magnétisme du crâne était si grand, les voitures auraient-elles pu rouler? A quoi bon nous dire que Mac est un agent double voire triple puisque ce ne sera pas utilisé?), et l'on en conclut que trois, c'était suffisant.

Mais bon, j'aime bien Harrison Ford (et je trouve Cate Blanchett émaciée).


PS: Ben vlà aut' chose!
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