A la recherche du salon de thé introuvable
Par Alice, lundi 23 septembre 2013 à 22:01 :: 2013
AC vient de St-Brieux. Comme elle va ensuite au Vésinet, je lui donne rendez-vous chez Ladurée à Madeleine (croisement des lignes 1 et 12).
Elle m'appelle alors que je suis en train de sortir du métro à Concorde: le salon de thé est fermé. Je songe à Angelina, je n'y suis jamais allée, mais AC est désorientée (plus de dix ans qu'elle a quitté Paris) et ne sait plus où sont les arcades de la rue Rivoli. Je vais donc à sa rencontre et lui propose à brûle-pourpoint le Crillon.
Translation jusqu'au Crillon (son sac est lourd): fermé, en travaux.
Je propose alors Angelina ou Hédiard ou Fauchon.
— Je ne peux pas choisir puisque je ne connais pas.
— Qu'est-ce que tu préfèreras raconter? (parce qu'après tout, quand on va dans ce genre d'endroit, ce n'est pas simplement parce que la pâtisserie est bonne, c'est aussi ou surtout pour y être allé.)
Elle choisit Hédiard. Je lui rappelle que c'est là qu'elle m'a appris en 2006 qu'elle était enceinte de son dernier, mais elle ne s'en souvient plus (je m'en étais voulu après coup d'avoir montré plus de surprise que d'enthousiasme).
Nous entrons, tournons parmi les étals, les accès à l'étage sont barrés, nous nous renseignons: le restaurant a fermé définitivement il y a trois mois.
Nous échouons chez Fauchon, orange pressée et nectar de poire, «je trouve ce rose très laid».
Elle m'appelle alors que je suis en train de sortir du métro à Concorde: le salon de thé est fermé. Je songe à Angelina, je n'y suis jamais allée, mais AC est désorientée (plus de dix ans qu'elle a quitté Paris) et ne sait plus où sont les arcades de la rue Rivoli. Je vais donc à sa rencontre et lui propose à brûle-pourpoint le Crillon.
Translation jusqu'au Crillon (son sac est lourd): fermé, en travaux.
Je propose alors Angelina ou Hédiard ou Fauchon.
— Je ne peux pas choisir puisque je ne connais pas.
— Qu'est-ce que tu préfèreras raconter? (parce qu'après tout, quand on va dans ce genre d'endroit, ce n'est pas simplement parce que la pâtisserie est bonne, c'est aussi ou surtout pour y être allé.)
Elle choisit Hédiard. Je lui rappelle que c'est là qu'elle m'a appris en 2006 qu'elle était enceinte de son dernier, mais elle ne s'en souvient plus (je m'en étais voulu après coup d'avoir montré plus de surprise que d'enthousiasme).
Nous entrons, tournons parmi les étals, les accès à l'étage sont barrés, nous nous renseignons: le restaurant a fermé définitivement il y a trois mois.
Nous échouons chez Fauchon, orange pressée et nectar de poire, «je trouve ce rose très laid».