Choix simple
Par Alice, jeudi 12 novembre 2009 à 18:52 :: 2009
Entre le Modem et Spinoza, je choisis Spinoza.
Plusieurs problèmes se posent alors, dont nous tâcherons de démêler les implications : qu'est-ce qui permet à Spinoza de qualifier une action de « bonne » ? Sur quels critères se fonder pour juger du bien et du mal ? Le spinozisme, en rapportant le bien à l'accroissement de la puissance d'agir, ne fait-il pas l'apologie du « chacun pour soi », du relativisme et de la concurrence sauvage entre les individus ?
Julien Douçot, séance du 12 novembre 2009