L'entrainement
Par Alice, jeudi 24 février 2022 à 22:13 :: 2022
Je quitte Vincennes tout de suite après le bureau. JM me récupère à la gare de Fontainebleau à deux heures. Il fait un grand soleil.
Nous n'avons pas encore réussi à ramer ensemble avant Mâcon. C'est tout de même les championnat de France. Je suis hallucinée de temps de légèreté, quand je sais à quel entraînements durs se soumettent les équipages du CNF.
Nous aurons donc un entraînement ensemble. Pas davantage, car JM ne pouvait pas être là , pour raisons familiales et Sylvie ne pourra pas être là après.
Nous bénéficions d'un beau quatre, qui a le défaut d'avoir la barre au pied de la nage. C'est conçu pour un deux mille mètres, où il est inutile de se retourner: il suffit de se repérer aux bouées devant soi, les couloirs sont droits. Mais pour un huit mille sur un parcours légèrement en courbe, dont un demi-tour à effectuer à la moitié, c'est plus difficile à maîtriser.
Nous descendons (sens du courant) vers Fontaine-le-Port, puis effectuons un deux mille mètres en remontant. Ça me paraît très long. Il y a du vent, il fait un peu froid, je remets un pull. Bien m'en prend: il se met à tomber une pluie fine et glacée, de plus en plus abondante, mêlée de grêle fondue.
Nous arrivons au ponton trempés et glacés.
Je rentre à la maison me changer et me réchauffer puis je repars à Samois : ce soir il y a remise du trophée de l'espoir à Cornélus Palsma par le comité départemental olympique et sportif, le conseil départemental et le Crédit agricole. C'est un jeune rameur de 22 ans originaire de Fontainebleau, vice-champion du monde en quatre poids léger.
La cérémonie commence mal: comme c'est les vacances, l'intendance n'a pas suivi et personne n'a les clés de la salle. Nous battons le pavé un temps bien trop long avant d'entrer dans la même salle qui nous avait accueillis pour le tajine du premier novembre. Discours des trois parties invitantes, réponse du jeune homme qui se tire bien de l'exercice, photos. Pas d'intendance donc pas de verre de l'amitié ni cacahuètes, c'est tristoune.
Nous n'avons pas encore réussi à ramer ensemble avant Mâcon. C'est tout de même les championnat de France. Je suis hallucinée de temps de légèreté, quand je sais à quel entraînements durs se soumettent les équipages du CNF.
Nous aurons donc un entraînement ensemble. Pas davantage, car JM ne pouvait pas être là , pour raisons familiales et Sylvie ne pourra pas être là après.
Nous bénéficions d'un beau quatre, qui a le défaut d'avoir la barre au pied de la nage. C'est conçu pour un deux mille mètres, où il est inutile de se retourner: il suffit de se repérer aux bouées devant soi, les couloirs sont droits. Mais pour un huit mille sur un parcours légèrement en courbe, dont un demi-tour à effectuer à la moitié, c'est plus difficile à maîtriser.
Nous descendons (sens du courant) vers Fontaine-le-Port, puis effectuons un deux mille mètres en remontant. Ça me paraît très long. Il y a du vent, il fait un peu froid, je remets un pull. Bien m'en prend: il se met à tomber une pluie fine et glacée, de plus en plus abondante, mêlée de grêle fondue.
Nous arrivons au ponton trempés et glacés.
Je rentre à la maison me changer et me réchauffer puis je repars à Samois : ce soir il y a remise du trophée de l'espoir à Cornélus Palsma par le comité départemental olympique et sportif, le conseil départemental et le Crédit agricole. C'est un jeune rameur de 22 ans originaire de Fontainebleau, vice-champion du monde en quatre poids léger.
La cérémonie commence mal: comme c'est les vacances, l'intendance n'a pas suivi et personne n'a les clés de la salle. Nous battons le pavé un temps bien trop long avant d'entrer dans la même salle qui nous avait accueillis pour le tajine du premier novembre. Discours des trois parties invitantes, réponse du jeune homme qui se tire bien de l'exercice, photos. Pas d'intendance donc pas de verre de l'amitié ni cacahuètes, c'est tristoune.