Au détour d'un bois
Par Alice, dimanche 12 mai 2013 à 20:51 :: 2013
Je m'étais proposée pour accompagner les enfants à Jambville, où ils montent les tentes scoutes pour le Frat du week-end prochain. (Cette famille devient de plus en plus catho, pauvre H. qui ne s'y reconnaît plus! (Entre nous, moi aussi j'en suis très étonnée, cela n'en prenait absolument pas le chemin. Mais avoir la possibilité de dormir sous la tente et de posséder son propre couteau de poche en convertirait plus d'un (version ado de "Paris vaut bien une messe").))
Je pensais faire l'aller-retour dans la matinée, les laissant se débrouiller pour revenir en RER, peu encline à me faire bloquer dans les bouchons de retours de vacances. Bien entendu, une chose en entraînant une autre, je me suis retrouvée à tenir les piquets centraux des tentes de huit.
(Il faut bien reconnaître que cette gigantesque organisation m'impressionne, moi qui ne suis même pas capable de prévoir le café pour une réunion de quinze personnes).
J'ai un peu déambulé dans le parc immense pendant que se montait la table (rondins et ficelles, table pour onze).
Et je suis tombée nez à nez avec Sullivan.
Je pensais faire l'aller-retour dans la matinée, les laissant se débrouiller pour revenir en RER, peu encline à me faire bloquer dans les bouchons de retours de vacances. Bien entendu, une chose en entraînant une autre, je me suis retrouvée à tenir les piquets centraux des tentes de huit.
(Il faut bien reconnaître que cette gigantesque organisation m'impressionne, moi qui ne suis même pas capable de prévoir le café pour une réunion de quinze personnes).
J'ai un peu déambulé dans le parc immense pendant que se montait la table (rondins et ficelles, table pour onze).
Et je suis tombée nez à nez avec Sullivan.