Inévitable, évidemment.

Qu'on m'explique pourquoi des gens vivant de sodas glacés dans des chaises longues décideraient de leur plein gré de revenir s'éreinter à cultiver des plantes dans un gigantesque dépotoir parcouru par des tempêtes de poussières.
C'est bizarre, ce présupposé moral.

Sinon, je n'ai pas fini de d'entendre «Ev' ah».

Mais l'ensemble est charmant.