Encore du pointage et des mails pour l'association.

Toujours avec le VPN situé en Estonie, je finis la saison 1 de Dark winds et j'entame Yellowjackets. Il ne s'agit pas de gilets jaunes, mais des couleurs du maillot d'une équipe de foot de lycéennes. La particularité de la série, c'est que ses trois premières minutes commencent par une chasse à l'homme (à la jeune fille) dans la neige. Il vous reste ensuite neuf heures d'épisodes pour comprendre de quelle façon le récit va parvenir aux dernières minutes du pilote.

C'est dans le genre atroce, mais justement si atroce mais également si illogique que cela perd toute crédibilité (si vous vous crashez en avion entre deux villes des Etats-Unis, même en pleine nature à deux cents kilomètres de toute habitation, en marchant tout droit deux semaines, vous croisez forcément une route. Ou il suffit de suivre le premier ruisseau que vous croisez pour arriver à la mer). Cet illogisme permet de tenir l'horreur à distance.

C'est une série «Teenagers» musclée, a priori non diffusée en France.