jeudi 5 septembre 2013
Lisieux
Par Alice, jeudi 5 septembre 2013 à 22:40 :: 2013
Installation de A à Lisieux. Mis deux heures à faire Yerres - Anthony, sans comprendre l'origine du bouchon.
Rien de notable par ailleurs. La France est toujours aussi belle.
Vidé la camionnette assez vite, fait quelques achats: deux poubelles (une grande,une petite), deux tabourets (Batman et Superman), deux vinaigres (vin ordinaire et balsamique, quel luxe pour une étudiante), de l'huile, du savon, du produit vaisselle, une balayette, une pelle, un balai, une bassine pour elle, une bassine pour moi (pour baigner mes plantes au bureau), un pot (idem), des graines de fleurs à planter sous les arbres (de la folie: il faut bêcher à dix centimètres de profondeur, quand aurai-je le temps de faire cela?) et des graines de fleurs à planter au printemps, du miel de fenouil (pour moi), de la noix de muscade et un steak.
Pris des photos —avant, après. Le studio est bien, j'ai peur qu'elle est froid, qu'elle se sente seule. Elle vaque à ses affaires en faisant des listes de projets qui font sourire quand on a connu sa nonchalance à la maison. Mais après tout, pourquoi pas?
Le jardin donne presque sur les jardins de l'évêché. Vue de la fenêtre:
Rentrés en passant par l'Aigle pour dîner au restaurant Le Dauphin (enfin, la brasserie accolée au restaurant, qui bénéficie de ce fait de la même recherche culinaire).
Retour infernal en se rapprochant de Paris, toutes les routes paraissent se fermer devant nous (avec évidemment formation de bouchons). Nous sommes soulagés d'arriver.
Et voilà. Moins une.
Rien de notable par ailleurs. La France est toujours aussi belle.
Vidé la camionnette assez vite, fait quelques achats: deux poubelles (une grande,une petite), deux tabourets (Batman et Superman), deux vinaigres (vin ordinaire et balsamique, quel luxe pour une étudiante), de l'huile, du savon, du produit vaisselle, une balayette, une pelle, un balai, une bassine pour elle, une bassine pour moi (pour baigner mes plantes au bureau), un pot (idem), des graines de fleurs à planter sous les arbres (de la folie: il faut bêcher à dix centimètres de profondeur, quand aurai-je le temps de faire cela?) et des graines de fleurs à planter au printemps, du miel de fenouil (pour moi), de la noix de muscade et un steak.
Pris des photos —avant, après. Le studio est bien, j'ai peur qu'elle est froid, qu'elle se sente seule. Elle vaque à ses affaires en faisant des listes de projets qui font sourire quand on a connu sa nonchalance à la maison. Mais après tout, pourquoi pas?
Le jardin donne presque sur les jardins de l'évêché. Vue de la fenêtre:
Rentrés en passant par l'Aigle pour dîner au restaurant Le Dauphin (enfin, la brasserie accolée au restaurant, qui bénéficie de ce fait de la même recherche culinaire).
Retour infernal en se rapprochant de Paris, toutes les routes paraissent se fermer devant nous (avec évidemment formation de bouchons). Nous sommes soulagés d'arriver.
Et voilà. Moins une.