dimanche 29 mai 2016
Fête des mères
Par Alice, dimanche 29 mai 2016 à 23:14 :: 2016
J'ai eu un cadeau, pour la première fois depuis… dix ans, quinze ans? (Nous ne sommes pas très fête des mères, je crois qu'à la génération suivante ce sera totalement oublié.)
J'ai eu un drapeau français. Honni soit qui mal y pense. (C'est un peu grâce à l'Euro (la compétition de foot, pas la monnaie (je précise pour les lecteurs à venir dans dix ans)): drapeaux en vente dans les supermarchés: «Et si on en prenait un pour maman? C'est suffisamment con pour que ça lui plaise.» (Ces jeunes, plus aucun respect)).
Retour à Melun, pour la première fois depuis fin mars. Pluie fine. Nous ne sommes que cinq. Je suis à la nage de la yolette, Franck barre. (Virginie, Vincent, Cyrille).
Des cascades bondissent dans la Seine, toute l'eau drainée sur les côteaux rejoint le fleuve à grand bruit.
Photo sans autre intérêt que montrer la masse verte des arbres. Il y en avait de plus fantômatiques à faire, des dégradés de gris dans la brume, mais je ne pouvais tout de même pas arrêter le bateau pour prendre une photo (de toute façon cela n'aurait rien rendu avec mon téléphone).
Franck a barré toute la sortie, j'ai donc fait l'aller-retour à la nage. L'après-midi, j'ai dormi très profondément, avec l'impression de ne plus pouvoir bouger quand je me réveillais un instant.
Ce soir il pleut de nouveau, avec obstination. C'est impressionnant.
J'ai eu un drapeau français. Honni soit qui mal y pense. (C'est un peu grâce à l'Euro (la compétition de foot, pas la monnaie (je précise pour les lecteurs à venir dans dix ans)): drapeaux en vente dans les supermarchés: «Et si on en prenait un pour maman? C'est suffisamment con pour que ça lui plaise.» (Ces jeunes, plus aucun respect)).
Retour à Melun, pour la première fois depuis fin mars. Pluie fine. Nous ne sommes que cinq. Je suis à la nage de la yolette, Franck barre. (Virginie, Vincent, Cyrille).
Des cascades bondissent dans la Seine, toute l'eau drainée sur les côteaux rejoint le fleuve à grand bruit.
Photo sans autre intérêt que montrer la masse verte des arbres. Il y en avait de plus fantômatiques à faire, des dégradés de gris dans la brume, mais je ne pouvais tout de même pas arrêter le bateau pour prendre une photo (de toute façon cela n'aurait rien rendu avec mon téléphone).
Franck a barré toute la sortie, j'ai donc fait l'aller-retour à la nage. L'après-midi, j'ai dormi très profondément, avec l'impression de ne plus pouvoir bouger quand je me réveillais un instant.
Ce soir il pleut de nouveau, avec obstination. C'est impressionnant.