jeudi 2 février 2017
Risques
Par Alice, jeudi 2 février 2017 à 22:38 :: 2017
Pas grand chose.
Un peu agacée de lire la "revue des risques" écrite par un cabinet d'audit avec le président et le trésorier pour qu'à la fin ceux-ci concluent: «en fait il n'y a pas de sujet».
Ben non il n'y a pas de sujet. S'il y en avait eu, croient-ils vraiment que j'aurais attendu cette mission d'audit pour le faire savoir? Enfin, ça fera plaisir à la commissaire aux comptes.
L'agacement au carré, c'est qu'il y a bien des risques (de disparition de la Mutuelle), trois, que j'ai cités. Mais comme ils ne sont pas "opérationnels", ils n'ont pas été repris.
Il se passe quelque chose au niveau de la paie. Je sens des jeux d'influences sans comprendre entre qui et qui ni pourquoi. La mise en place de la DSN (déclaration sociale nominative) exacerbe les tensions.
A la maison, sur le "plan B.", cela ne va pas mieux. H. s'en veut : «si je n'avais pas attendu, tout serait signé».
Mais à l'époque (les quinze premiers jours de janvier, comme cela paraît loin), il s'agissait de ne pas trahir B., de deviner sa volonté pour ne pas agir contre son gré. Il n'y a pas à s'en vouloir de cela, c'est tout à son honneur.
Maintenant tout semble bloqué: ne pas aller en Amérique, perdre les deux ingénieurs-clé, ne pas pouvoir livrer à temps l'Etat, perdre la face… Comment se faire embaucher ensuite?
Tout paraît si grave. Je lui rappelle que c'est une illusion: personne ne se souvient de rien, personne ne se soucie de rien, il suffit de continuer.
H. a enfin mis Nat au courant. Il était temps.
Un peu agacée de lire la "revue des risques" écrite par un cabinet d'audit avec le président et le trésorier pour qu'à la fin ceux-ci concluent: «en fait il n'y a pas de sujet».
Ben non il n'y a pas de sujet. S'il y en avait eu, croient-ils vraiment que j'aurais attendu cette mission d'audit pour le faire savoir? Enfin, ça fera plaisir à la commissaire aux comptes.
L'agacement au carré, c'est qu'il y a bien des risques (de disparition de la Mutuelle), trois, que j'ai cités. Mais comme ils ne sont pas "opérationnels", ils n'ont pas été repris.
Il se passe quelque chose au niveau de la paie. Je sens des jeux d'influences sans comprendre entre qui et qui ni pourquoi. La mise en place de la DSN (déclaration sociale nominative) exacerbe les tensions.
A la maison, sur le "plan B.", cela ne va pas mieux. H. s'en veut : «si je n'avais pas attendu, tout serait signé».
Mais à l'époque (les quinze premiers jours de janvier, comme cela paraît loin), il s'agissait de ne pas trahir B., de deviner sa volonté pour ne pas agir contre son gré. Il n'y a pas à s'en vouloir de cela, c'est tout à son honneur.
Maintenant tout semble bloqué: ne pas aller en Amérique, perdre les deux ingénieurs-clé, ne pas pouvoir livrer à temps l'Etat, perdre la face… Comment se faire embaucher ensuite?
Tout paraît si grave. Je lui rappelle que c'est une illusion: personne ne se souvient de rien, personne ne se soucie de rien, il suffit de continuer.
H. a enfin mis Nat au courant. Il était temps.