dimanche 5 août 2018
Anti-moustiques
Par Alice, dimanche 5 août 2018 à 22:41 :: 2018
Comme d'habitude je suis la première levée. H. a innové : au lieu de dormir au rez-de-chaussée, il s'est enfermé dans la chambre d'O. pour échapper aux moustiques (mais pas à la chaleur puisqu'il faut alors fermer toutes les fenêtres toute la nuit).
Je commence à ranger l'étagère que nous avons descendue dans la chambre (l'ancienne chambre) d'A. L'idée est d'y mettre tout ce qui concerne la théologie, le grec et mes classeurs de cours. Au fur à mesure que j'avance, que je ramène également les livres relégués au grenier (dans la dernière pièce, "the room of requirement", je me rends compte que cette étagère ne suffira sans doute pas, à moins que je ne range les livres sur deux épaisseurs. Je suis submergée par l'idée de tous ces livres, il va vraiment falloir que je les lise un jour.
J'entame ensuite le deuxième chantier des vacances: se débarrasser des cassettes vidéo. Je n'ai pas trouvé de lieu qui les recycle. Idéalement il faudrait les démonter, enlever la piste magnétique pour la jeter d'un côté, jeter le plastique d'un autre et les vis en métal à part. Je vais me contenter de jeter les boîtes à part en enlevant la couverture de titre en papier glacé (des limites de l'engagement écologique).
Je descends l'ensemble des cassettes (combien? à vue de nez dix tas de douze à quinze cassettes). J'isole quelques-unes que je veux conserver à tout prix (Bernie, Divine mais dangereuse, C'est arrivé entre midi et trois heures, Bound, Train de vie), H. en fait autant de son côté, puis vérifie pour la vingtaine de cassettes ainsi sélectionnées si les films sont disponibles en ligne ou en DVD. Il en reste finalement huit ou neuf, dont un coffret des Mystères de l'Ouest, Le vieux Fusil et La Bataille du rail qui ne sont pas disponibles pour des questions de droits. (Oui nous avons encore de quoi les regarder : simplement la résolution des cassettes n'est plus du tout adaptée à la résolution des écrans. Par ailleurs nous avons perdu l'habitude des VF imposées par les cassettes.)
Les étagères vides sont noires de poussière. Derrière se trouve une porte et des cartons que je voudrais inventorier, dans l'espoir d'en jeter quelques-uns et les remplacer par d'autres. Je ne sais pas quand j'aurai le temps de faire cela. Après avoir jeté tant d'archives au bureau cette année, j'ai envie d'en faire autant à la maison pour passer à autre chose.
Il me reste une dissertation et un mémoire à écrire avant de passer vraiment à autre chose.
Après-midi sur FB à rechercher les souvenirs d'un noir qui les a racontés en avril au moment de l'anniversaire des émeutes de Kansas City.
Nous avons installé une moustiquaire : crochet au plafond, voile de mousseline, … Nous allons pouvoir laisser les fenêtres ouvertes malgré la chaleur.
Inconvénient : la peur de s'emmêler dans la mousseline en bougeant la nuit et les chats à maintenir à distance: s'ils sautent sur le lit ils vont tout déchirer.
Je commence à ranger l'étagère que nous avons descendue dans la chambre (l'ancienne chambre) d'A. L'idée est d'y mettre tout ce qui concerne la théologie, le grec et mes classeurs de cours. Au fur à mesure que j'avance, que je ramène également les livres relégués au grenier (dans la dernière pièce, "the room of requirement", je me rends compte que cette étagère ne suffira sans doute pas, à moins que je ne range les livres sur deux épaisseurs. Je suis submergée par l'idée de tous ces livres, il va vraiment falloir que je les lise un jour.
J'entame ensuite le deuxième chantier des vacances: se débarrasser des cassettes vidéo. Je n'ai pas trouvé de lieu qui les recycle. Idéalement il faudrait les démonter, enlever la piste magnétique pour la jeter d'un côté, jeter le plastique d'un autre et les vis en métal à part. Je vais me contenter de jeter les boîtes à part en enlevant la couverture de titre en papier glacé (des limites de l'engagement écologique).
Je descends l'ensemble des cassettes (combien? à vue de nez dix tas de douze à quinze cassettes). J'isole quelques-unes que je veux conserver à tout prix (Bernie, Divine mais dangereuse, C'est arrivé entre midi et trois heures, Bound, Train de vie), H. en fait autant de son côté, puis vérifie pour la vingtaine de cassettes ainsi sélectionnées si les films sont disponibles en ligne ou en DVD. Il en reste finalement huit ou neuf, dont un coffret des Mystères de l'Ouest, Le vieux Fusil et La Bataille du rail qui ne sont pas disponibles pour des questions de droits. (Oui nous avons encore de quoi les regarder : simplement la résolution des cassettes n'est plus du tout adaptée à la résolution des écrans. Par ailleurs nous avons perdu l'habitude des VF imposées par les cassettes.)
Les étagères vides sont noires de poussière. Derrière se trouve une porte et des cartons que je voudrais inventorier, dans l'espoir d'en jeter quelques-uns et les remplacer par d'autres. Je ne sais pas quand j'aurai le temps de faire cela. Après avoir jeté tant d'archives au bureau cette année, j'ai envie d'en faire autant à la maison pour passer à autre chose.
Il me reste une dissertation et un mémoire à écrire avant de passer vraiment à autre chose.
Après-midi sur FB à rechercher les souvenirs d'un noir qui les a racontés en avril au moment de l'anniversaire des émeutes de Kansas City.
Nous avons installé une moustiquaire : crochet au plafond, voile de mousseline, … Nous allons pouvoir laisser les fenêtres ouvertes malgré la chaleur.
Inconvénient : la peur de s'emmêler dans la mousseline en bougeant la nuit et les chats à maintenir à distance: s'ils sautent sur le lit ils vont tout déchirer.