jeudi 11 juin 2015
Le fonctionnement du Comité d'Entreprise
Par Alice, jeudi 11 juin 2015 à 22:17 :: 2015
Je suis en train de me rendre compte qu'un Comité d'entreprise est une zone de non-droit.
Il ne doit rendre des comptes qu'à l'employeur, qui généralement n'est pas trop regardant en échange de pas trop de contestation.
Chez nous, nous avons en outre un Comité Inter-entreprises auquel chaque CE reverse 75% de ce qu'il reçoit de son entreprise. La secrétaire du CIE aurait dû quitter le groupe et partir chez A** en 2012 lors de la cession de son entreprise par le groupe: au dernier moment elle a été mutée ce qui lui a permis de rester. Elle habite en province (son poste de travail est en province) et à titre de secrétaire du CIE a droit à un appartement dans Paris payé par l'entreprise. Cela fait quinze ans qu'elle est secrétaire… et dispose d'un appartement tous frais payés à Paris.
Il paraît que cet appartement est un véritable baisodrome, cela ajoute du sel à l'affaire…
Nous nous sommes détestées au premier regard. Elle veille scrupuleusement à l'application des règles d'attribution de subvention aux salariés (c'est bien) avec des passe-droits selon son humeur et ses goûts (c'est mal). Bref, c'est l'autoritarisme du petit chef à qui l'on a confié du pouvoir. Si elle m'embête, je me syndicalise dans son syndicat.
Il ne doit rendre des comptes qu'à l'employeur, qui généralement n'est pas trop regardant en échange de pas trop de contestation.
Chez nous, nous avons en outre un Comité Inter-entreprises auquel chaque CE reverse 75% de ce qu'il reçoit de son entreprise. La secrétaire du CIE aurait dû quitter le groupe et partir chez A** en 2012 lors de la cession de son entreprise par le groupe: au dernier moment elle a été mutée ce qui lui a permis de rester. Elle habite en province (son poste de travail est en province) et à titre de secrétaire du CIE a droit à un appartement dans Paris payé par l'entreprise. Cela fait quinze ans qu'elle est secrétaire… et dispose d'un appartement tous frais payés à Paris.
Il paraît que cet appartement est un véritable baisodrome, cela ajoute du sel à l'affaire…
Nous nous sommes détestées au premier regard. Elle veille scrupuleusement à l'application des règles d'attribution de subvention aux salariés (c'est bien) avec des passe-droits selon son humeur et ses goûts (c'est mal). Bref, c'est l'autoritarisme du petit chef à qui l'on a confié du pouvoir. Si elle m'embête, je me syndicalise dans son syndicat.