Tai chi. Sieste. Train pour Paris. La damnation de Faust de Berlioz au TCE.

La jeunesse et la beauté des chanteurs (Petr Nekoranec et Victoria Karkacheva) étaient revigorantes (leur amour tout à fait crédible), mais tout cela était quelque peu mou, trop joli et trop gentil. Donnez-moi de l'infernal!

Rien ne correspondait à mon souvenir de la lecture de la pièce (un contrat au début de la pièce signé par Faust pour accéder à la jeunesse, la richesse, le savoir): ici une damnation tardive pour sauver Marguerite, ce qui me paraît tout à fait louable (se vendre pour sauver quelqu'un, est-ce vraiment une raison d'être damné?)
Bref, je ne suis pas sûre d'avoir tout compris. Dommage pour un opéra chanté en français.

Pour ceux qui connaissent, je lis les tomes 58, 59 et 60 de One Piece. J'accuse le coup. (Dans le train, un Japonais de 25 ans est enchanté de ma lecture et me déclare qu'en tant que Japonais, il est très fier de One Piece. Je le comprends.)
Pour ceux qui ne connaissent pas, c'est l'équivalent de la fin des tomes 5 et 6 d'Harry Potter.