Vu
Là-haut pour l'anniversaire de O. (avec O. et un ami).
Pleuré les trois quarts du film, autant aux moments tristes qu'aux moments gais (le moment où la maison apparaît repeinte et pimpante: pouf, en larmes).
Pensé à
Matoo.
J'aurais bien regardé plus longuement l'oiseau et les ballons, surtout les ballons. Couleurs qui font du bien.
Film sur tout ce qu'il faut laisser derrière soi, sur tout ce qu'il faut accepter d'abandonner, pour continuer à vivre. Dialectique du rêve: le rêve comme but, le rêve comme obstacle, le moment où il faut savoir l'abandonner pour continuer à vivre, de façon peut-être moins flamboyante mais plus riche, parce qu'on est désormais au-delà du rêve et non plus en deça.