Conf call assez mouvementée pour un projet dont on a exclu la Mutuelle en mars (parce qu'on l'avait oubliée un an auparavant quand on avait défini le périmètre et que les responsables du projet n'ont pas voulu le reconnaître) pour s'apercevoir aujourd'hui que sa non-présence bloque la mise en prod du projet début juin. Comme disait Coluche: «je me marre ! ».
Bref, on me demande de rattraper le coup, ce qui à vrai dire n'est pas difficile parce que la structure juridique est légère donc réactive, mais en temps de confinement tout ce qui est contrat et signature est compliqué. Signer un contrat, c'est tout de même plus facile autour d'une table.

J'ai appris que le club de Melun reprenait les sorties sur l'eau (dans une organisation alambiquée). Je devrais me réinscrire là-bas, je ne suis pas prête de retourner à Neuilly, et de toute façon il n'y aura pas de sortie en huit avant longtemps.

Regardé La scoumoune, disponible sur Youtube. J'attendais de connaître la fin de ce film depuis trente-cinq ans. (Il n'y a pas grand chose dans ce film, finalement. Une histoire d'amitié. De la nostalgie.)

Vu Le pianiste. Le ghetto en couleur, c'est toujours une surprise. Polanski n'a pas mis en scène les Polonais qui venaient au spectacle lors du soulèvement du ghetto. Peut-être n'était-il pas au courant. Cela m'a donné envie de relire Rudnicki. Les «sous-marins», ces juifs qui se sont cachés dans la population. Ce n'était pas si facile, il ne fallait pas être typé.
Je m'aperçois au passage que le type qui a écrit l'article Rudnicki dans Wikipedia en août 2008 a copié/collé l'extrait à partir de vehesse.