Par Alice,
vendredi 24 mai 2019 à 01:00 :: 2019
Dîner dans le soir qui tombe au café des Concerts à deux pas de la Philarmonie.
— A quoi ça sert de dîner en terrasse s'il n'y a même pas de jolies demoiselles à regarder?
— Ce n'est sans doute pas le bon concert.
— Je vais changer de concert.
Messe en si de Bach. Raphaël Pichon et le chœur et orchestre Pygmalion.
Mention spéciale à Anneke Scott au cor et Julien Léonard à la viole de gambe.
Je vais regarder la vidéo avec soin car le choeur a changé de disposition au cours du concert et je ne l'ai pas vu faire. C'est très pertubant quand on s'en rend compte.
Par Alice,
jeudi 23 mai 2019 à 23:12 :: 2019
Faut-il ou non cesser d'apporter des soins à un homme dans le coma depuis dix ans?
Son épouse dit oui, ses parents disent non; la justice consultée dit oui, puis non, etc, selon les instances consultées.
(Que dit l'I.A. ? Il paraît que les machines font des pronostics sur les chances de réveil à partir de la concaténation des cas déjà survenus. J'aurais tendance à avoir confiance dans ce genre d'analyse.)
Deux souvenirs.
Je pense avoir déjà parlé du premier. Quand j'ai commencé à travailler à la GMF en 1990, j'avais un collègue qui venait d'avoir un bébé mal formé. Cela n'avait pas été détecté à l'échographie, cela n'avait pas été détecté à la naissance. Mais le bébé ne grossissait pas on avait fini par diagnostiquer qu'il n'avait pas d'œsophage ainsi qu'un cerveau atrophié.
Comme on ne s'en était pas aperçu tout de suite et puisque le bébé ne grossissait pas, à la première hospitalisation il a été nourri par une sonde, ce qui compensait le problème de l'œsophage — dont on ne savait pas encore qu'il manquait ou était insuffisant.
Souvenir de lecture : mon grand-père était abonné au Reader's digest. A l'américaine, cette revue aime beaucoup les récits de persévérance et réussite dans l'adversité. Je me souviens du récit de trois naufragés dans le Pacifique. La surface du radeau ne permettait d'accueillir que deux hommes, donc l'un des trois restait dans l'eau et ils se relayaient régulièrement.
Cela a duré des jours. Je ne sais plus combien de temps mais c'était impressionnant, bien plus qu'il ne paraissait possible. Et lorsqu'on leur avait demandé comment ils avaient tenu, ils avaient répondu: «Une fois que nous avions commencé, nous ne pouvions plus abandonner. Nous ne pouvions pas laisser mourir celui qui était dans l'eau.»
C'est toujours à cela que je pense lors de ces dilemmes. J'avais posé la question à Pascal quand il m'avait dit que le bébé était condamné: «Mais vous ne voulez pas le débrancher?» (il était possible d'en discuter car il était dévasté mais rationnel, il en parlait). Il m'avait répondu: «Comment veux-tu faire? Ce serait le laisser mourir de faim, on ne peut pas faire ça.»
Et non, on ne pouvait pas. La famille vivait le drame, l'équipe hospitalière avait interdit à la mère de voir son bébé car cela la bouleversait et elle devait conserver des forces pour s'occuper de ses deux autres jeunes fils. Le bébé a mis huit mois à mourir.
Je pense aux naufragés : une fois qu'on a commencé, comment arrêter? Débrancher quelqu'un qui respire artificiellement et donc cesse de respirer quasi instantanément, oui, mais condamner quelqu'un à mourir de faim ou de soif?
Par Alice,
mercredi 22 mai 2019 à 22:24 :: 2019
Je commence à avoir passé trop de jours chez moi, il est temps que cela se termine. Limoncello et chips à la truffe.
Lu WWII - Histoires de guerre d'Hugo Pratt, la réimpression de douze comics édités en Angleterre après la deuxième guerre. J'avais acheté ce livre à la Pinacothèque en 2011 lors de l'exposition Hugo Pratt. Cette lecture fait donc partie du projet "lire sa bibliothèque avant de mourir".
Reçu des ballerines très souples : le pied droit entre difficilement mais j'ai ainsi une allure humaine. Je pourrai reprendre le travail sans moon boot (soulagement, fierté sauvée).
Dans la soirée, vidé quatre ou cinq cartons de poches et réorganisé les étagères. Quelle chance réelle y a-t-il que je les lise tous? Beaucoup ne m'intéressent pas, je n'ai pas vraiment envie de les lire, je les garde par amitié, nous avons développé des liens réciproques depuis le temps que je les regarde (oui, je passe du temps à regarder mes livres comme d'autres regardent leurs fleurs, ça me détend). Et puis ils peuvent intéresser d'autres lecteurs.
Je découvre que j'en ai en double, le tome I de L'Homme qui rit en Garnier Flammarion, Rimbaud en Folio. D'où viennent-ils?
Quelqu'un veut-il un Malices de Plick et Plock? (en double aussi)
Non, je me suis trompée : je donne un Idée fixe du savant Cosinus.
Par Alice,
mardi 21 mai 2019 à 23:24 :: 2019
Etabli un récapitulatif de différentes options : passer à 80% ou prendre un congé sans solde pour travailler en indépendant, changer d'entreprise (mais je ne crois plus beaucoup à cette option, ni à celle de trouver un autre poste dans la même boîte).
Le problème est de s'être habituée à une certaine aisance financière.
Par Alice,
lundi 20 mai 2019 à 22:52 :: 2019
Bonnie Tyler à l'Olympia. Emouvant.
Par Alice,
dimanche 19 mai 2019 à 21:58 :: 2019
C'était le dernier qu'il me restait à lire.
— C’est tout de même tout le temps la même chose, les Langelot.
— Oui, comme Agatha Christie ou San-Antonio : trois ou quatre trames. Et tu lisais ça à dix ans, tu en as cinquante.
Si l’on considère que
Ralph König est accusé de
transphobie et racisme (des grosses lèvres? Reiser et Wolinski ont disparu à temps), il faut en conclure que certains Langelot seraient impubliables aujourd’hui. Ils seraient considérés comme colonialistes ou paternalistes. D’ailleurs ils le sont sans doute (la défense des intérêts de la France en Afrique et en Outre-Mer), mais cela a-t-il davantage de sens que de juger Shakespeare ou Mozart avec des critères féministes?
Par Alice,
dimanche 19 mai 2019 à 21:19 :: Réflexions méta-bloguiennes
Problèmes de php résolu (version de php d'ovh non compatible) et retour au rose car je n'en pouvais plus du jaune.
Toutes les photos depuis l'origine sont rétablies (elles n'étaient plus disponibles depuis un ou deux ans et j'en mettais à jour de temps en temps.)
Vous pouvez tester le rss.
Test d'image :
Par Alice,
samedi 18 mai 2019 à 22:40 :: 2019
Fini la saison 4 de Lucifer. Elle n’est pas du tout raccord avec les précédentes. Pas le glamour, pas la finesse, des trois premières : ont-ils perdu un scénariste? Le côté crise identitaire et acceptation de soi-même sur fond d’Amicalement vôtre a disparu, il ne reste que des grosses ficelles holywoodiennes de démon malheureux.
Dommage.
(Donc ne regardez pas la 4).
Par Alice,
vendredi 17 mai 2019 à 22:37 :: 2019
Je viens de comprendre que si Lucifer se passe à Los Angeles, c’est que Los Angeles signifie « les anges ». Cela m’aura pris quatre jours.
La série est juste magique. Lucifer et Caïn. C’est grand. Suis-je le gardien de mon frère? (conférence de Hans Jonas. Il est sûr que je projette beaucoup de choses dans cette série).
Plus la série avance plus je pense au Maître et Marguerite. Le principe de la culpabilité again and again, comme le mouchoir toutes les nuits, et la compassion. Une série entièrement sur la compassion — ou la définition de l’humain: qu’est-ce qui nous définit comme humain?
Je suis vraiment impressionnée (à cela près que Caïn est une erreur de casting: vraiment trop beefy.).
Asile de fous. Un homme se prend pour Dieu. (Rappel: Lucifer est une série policière.)
L’inspecteur : — On vient de trouver l’assassin de dieu.
Lucifer, surpris : — Nietzsche ?
Reçu les trois derniers Langelot avec les bonnes couvertures : la collection est complète !
Par Alice,
jeudi 16 mai 2019 à 22:21 :: 2019
La professeur annonce une nouvelle qui me navre et me met en colère : il est fort possible qu'il n'y ait plus de cours l'année prochaine car celui-ci est trop dérogatoire par rapport aux règles académiques: il n'est pas calé sur un semestre, il est ouvert à tous et ne fait partie d'aucun cursus, il ne donne pas lieu à une évaluation.
Pourtant la prof a fait des efforts cette année qu'elle travaille à Genève: elle se fait simplement rembourser ses billets de train et ne réclame aucun salaire (si j'ai bien compris, cela ne vaut pas la peine avec l'imposition suisse). Est-ce que l'ICP va réellement laisser partir, ou pire inciter à partir, cette perle rare, érudite et vivante, qui organise des colloques au Collège de France avec
Carlo Ossola?
Est-ce mon dernier cours de grec? Je vais tout oublier si vite. Je ne me vois pas travailler avec quelqu'un d'autre. Déjà que je travaille si peu. Personne n'arrivera à me donner l'envie.
Remarque : parmi les raisons inavouables de l'arrêt de ces cours par l'institution il y aurait celle-ci (dixit la prof): que les laïcs et même les sœurs n'intéressent pas vraiment la catho: ce qui l'intéresse, ce sont les frères ou les prêtres qui vont faire des thèses et être connus et reconnus ce faisant.
J'ai pensé Ã
Jean-Marc et à sa colère.
Par Alice,
mercredi 15 mai 2019 à 18:18 :: 2019
J’ai réfléchi pendant la nuit : cette série n’est pas chrétienne, on ne parle qu’Ancien Testament (avec cependant des églises parce que c'est sans doute plus mainstream qu'une synagogue). Donc les scénaristes doivent être juifs.
Vérification : effectivement, et le scénariste est Neil Gaiman, plutôt athée (suppose que les chances qu'il y ait un Dieu sont de 50/50), élevé dans une ambiance scientologue et juive (!!??) Je connais Gaiman à travers la bibliographie de Pratchett.
Apparemment lui-même est un grand admirateur d’Alan Moore, qui est pour moi une référence (alors que je n’apprécie pas spécialement Pratchett (peut-être qu’il faudrait que je réessaie)). Donc il faudrait que je lise The Sandman.
Par Alice,
mardi 14 mai 2019 à 21:15 :: 2019
Que le diable puisse éprouver de la culpabilité. Qu’il consulte un psychologue (une thérapeute : ce mot est bien meilleur, il permet de ne pas choisi entre psychiatre et psychanalyste): «vous avez un pb d’identité. Qui pensez-vous que vous êtes?» Mais comment vont-ils tenir quatre saisons avec des équilibres si fragiles entre humour, références bibliques et clin d'œil (exemple: une étiquette Prada entrevue une seconde)?
Ce que j’aime, ce sont les dialogues, le vocabulaire, la grammaire. Jamais entendu autant de may I, shouldn’t we. Et des mots comme scintillating. C’est si plaisant.
Reconnaissons cependant que les enquêtes policières sont simplistes et ne sont là qu'en prétexte.
La série essaie de sauver Lucifer, tout en reprenant l’obsession cinématographique américaine: le père, l’image du père, l’ombre du père. De Star Wars au Roi lion en passant par Top Gun ou Le parrain, le cinéma américain ne parle que de ça, du père, celui auquel on veut ressembler ou celui auquel on veut échapper. Et maintenant, Lucifer.
Par Alice,
lundi 13 mai 2019 à 21:03 :: Réflexions méta-bloguiennes
Alice est en train de devenir alicedufromage.eu, mais ça prend un peu de temps (apparemment le https n'est pas si simple).
Donc juste un petit mot, en particulier pour Didier qui paraît fan de Netflix :
- Designated Survivor, qui me fait penser à Coluche parlant de Roger Gicquel : tout le malheur du monde sur ses basketts. Mais la flic est bien. Je suis frappée du nombre de séries qui impliquent que la menace n'est plus extérieure (russe ou islamique) mais domestique (l'extrême-droite).
Sutherland est passé de «il faut protéger ma famille» à «je crois en mes compatriotes américains, unis nous allons y arriver». Au moins une fois par épisode.
- Lucifer commencé à l'instant. Plutôt amusant, surtout dans un contexte où je lis Adolf Gesché sur le mal.
Sur arte : Il revient quand Bertrand?. Court, français et plutôt amusant à partir d'une idée très mince.
Par Alice,
jeudi 9 mai 2019 à 18:06 :: 2019
Vu le chirurgien. Tout va bien. Cependant il m'a fait peur : «Oui, le pied reste gonflé trois à six mois après l'opération, c'est normal.»
Normal? Mais il ne m'avait pas prévenue! Comment vais-je aller travailler? Je ne peux enfiler aucune chaussure, d'une part parce que je ne plie pas l'avant-pied (au niveau orteils-plante de pied), d'autre part parce que le pied est trop gonflé.
Par Alice,
mercredi 8 mai 2019 à 22:26 :: 2019
— Comment appelle-t-on quelqu'un qui croit que la terre est plate ?
Par Alice,
mardi 7 mai 2019 à 17:42 :: 2019
Radio de contrôle (tout va bien).
Lorsque nous regagnons notre voiture (la mazda, la rouge), nous sommes interpelés par un vieux monsieur qui était en train de l'admirer en refermant son portail. Toute la conversation (ou monologue) se déroulera dans le ronronnement de son Opel mi-sur le trottoir mi-sur la chaussée.
Je l'interroge sur son lilas que j'avais remarqué en arrivant: un tronc de dix à douze centimètres de diamètre, je n'ai jamais vu ça. Il commence à en remonter la généalogie: la maison appartenait aux grands-parents de sa femme, qui avaient planté le lilas à la naissance de sa mère.
Et il enchaîne :
— Votre voiture me fait penser… J'avais un cousin, c'était le fils de l'homme de la publicité Banania. Il avait dans son garage une Oldsmobile et un coupé Mercedès. Son fils avait gagné un solex à la loterie, et comme il était avoué à la Croix-des-petits-Champs, il préférait le solex, c'était plus facile pour le garer. Je me rappelle, on le regardait partir par la fenêtre à Neuilly, très british avec son chapeau et son parapluie, il courait le long du solex, et hop, il montait dessus.
Pendant ce temps le moteur de l'Opel tournait.
Il a fini par nous laisser partir, mais un moment, je me suis demandée combien de temps nous allions rester là , depuis combien de temps il n'avait eu personne à qui raconter ses souvenirs.
Par Alice,
lundi 6 mai 2019 à 23:26 :: 2019
Série Netflix, Dogs of Berlin. VO en allemand (j'ai essayé le sous-titrage allemand, mais je ne tiens pas longtemps). Très violent et très noir, avec une dilection pour les gros plans sur les blessures gore (mais l'image ne dure qu'une à deux secondes).
L'équivalent du quai des Orfèvres est très inattendu, un côté soucoupe volante graffittée.
Entretien d'embauche :
— Dites-moi un secret qu'on ne dit pas normalement en entretien d'embauche.
— Je suis hôtesse pour téléphone rose. Ça me permet de travailler à domicile.
Et je me dis que mon secret serait «j'étudie la théologie» ou «je suis (ou j'ai été) spécialiste du RC littéraire».
Par Alice,
samedi 4 mai 2019 à 22:03 :: 2019
Je relis
Le Concept de Dieu après Auschwitz.
Page de garde : "acheté à Levallois le 17 août 1994". Je ne sais pas quand je l'ai lu la première fois. Je me demande ce que j'y avais compris (non que ce soit difficile, mais les concepts qui me sont aujourd'hui familiers m'étaient inconnus). Je me souviens vaguement que l'essai de Catherine Chalier m'avait paru plus intéressant. Aujourd'hui j'ai l'impression d'une redite du texte de Jonas.
***
Avoir cassé Alice a occasionné quelques opérations informatiques qui m'ont ouvert des horizons (une simplification dans l'indexation de Véhesse que je n'ai jamais menée à terme depuis 2010: pas le temps, trop volumineux). J'ai tourné un peu dans ce blog, mis à jour quelques billets (la catégorie "Livres" doit disparaître, "Citations RC" aussi), réouvert
Vaisseaux brûlés. Toujours le même charme d'écriture, mais habité désormais par l'omniprésence du mensonge. La bathmologie était un mensonge à soi-même destinée à couvrir un dogmatisme en ciment.
En août, cela fera dix ans que sa mère est morte.
***
L'infirmier m'a dit de passer mon pied sous la douche dans deux jours pour faire partir les derniers fils.
***
Ce matin nous étions en train de discuter Gilets Jaunes, du fait que la France était divisée en quatre (cf. les élections de 2017) et donc ingouvernable, mais:
— L'a-t-elle jamais été? Quand on voit
dessinait les scénarios de Goscinny dans Astérix…
Débat : Goscinny, les années 50 ou 60? Après 68?
— Avant 68: il a commencé dans
Pilote.
Un tour dans wikipédia, premier album en 1961, trois ou quatre ans plus tard des tirages à un million d'exemplaires, le premier satellite français nommé Astérix.
Et soudain
je me souviens.
***
14215(
note : un an plus tard : c'était le nombre de signes de ma dissert, finalement abandonnée).
Par Alice,
vendredi 3 mai 2019 à 23:34 :: 2019
L'addiction a frappé : Braquage à la suédoise et The wrong mans hier (Arte), Dead to me (Netflix) aujourd'hui.
La première suédoise amusante, la deuxième anglaise trépidante, la troisième américaine plus réflexive, sur la culpabilité, la colère et l'amitié. Une variation continuelle autour de «chacun a ses raisons» (Renoir).
Les scénaristes américains m'épatent continuellement: choisir une situation intenable et la faire tenir dix heures.
Par Alice,
jeudi 2 mai 2019 à 22:52 :: 2019
Reçu un PV pour un excès de vitesse
le 19 avril à 18h58 sur la A11 en direction du Mans à la hauteur du village de
Saint Bomer.
Il va falloir contester et demander une photo.
Par Alice,
mercredi 1 mai 2019 à 18:41 :: Réflexions méta-bloguiennes
Cette impression de voir double, toujours (et de devenir fou: «Mais… elle est dehors? Je viens de la faire rentrer! —Mais non, c'est pas la même.)
Trois points :
1/ Hommage aux infirmiers, infirmières, accompagnants de vie qui travaillent même aujourd'hui.
2/ En conséquence de ma bêtise d'hier, H. a regardé mon blog de près. Il reste des traces de tout: de la séparation du blog initial en deux (parthénogenèse en 2009), de ma bêtise avec l'UTF-8 intervenue en avril 2012 (comme le temps passe), de ma transformation progressive des billets wiki en html…
45000 logs : je me suis loguée 45000 fois ici (ou j'ai appuyé 45000 fois sur "enregistrer", je suppose). Il y a la date et l'heure de chaque fois, je pourrais mettre ces données en ligne (mais je vais plutôt les détruire).
3/ J'ai demandé à revenir à l'ancien look, le look rose, en attendant que H. est le temps de faire mieux (je suis lassée de ce fond vert et jaune). Il n'a rien promis mais j'ai bon espoir.