Neuf jours sans écrire.
C'est compliqué. Le soir je tombe de sommeil; dans la journée, je ne peux écrire que dans la voiture, ce qui implique 1/ que nous fassions de la voiture 2/ que je ne sois pas en train de conduire.
Il y a aussi le classement des photos et leur renommage, l'écriture de cartes postales ou leur confection via l'appli Popcarte (je fais des tests d'acceptation par mes correspondants), les réponses à la famille inquiète («vous voyez beaucoup de militaires?»), les visios (hélas oui) de préparation de la rentrée et les interactions diverses (une salariée a attrapé le palu, c'est exotique): le quotidien ne vous abandonne plus si facilement.

Insomnies : je vais aller tenter de mettre quelques points en ligne, avec cet espoir toujours illusoire, toujours déçu, de compléter plus tard, au moins par des photos.