Lave-linge rebranché. Première machine, il était temps (je ne sais pas comment le linge va sécher ici, or de la vitesse du séchage dépend la vitesse de résorption du linge sale accumulé. Puis il y aura le repassage.)
Travaux de soudure pour installer des éclairages indirects sur les étagères.
Coiffeur à cent mètres. J'ai fini le troisième tome des Valérian en intégrale offert par O. à Noël.
Télétravail.
Transfert du courrier prévu à partir du 18 janvier (O. a demandé un délai de grâce car il attend des paquets à Yerres).
Plateau du premier étage vidé de ses cartons dans l'attente du lit demain.

parquet et Nu bleu de Matisse

(Dommage, je n'ai pas pris de photo du capharnaüm avant l'effort de rangement, avec les cartons, les fils et les tableaux entassés sur la bâche de peintre.)
J'ai déballé un carton de poches moitié sérieux, moitié San-Antonio. Et des Frédéric Dard.
Il faut que je prévienne mes co-listiers de mon déménagement. J'aurais dû le faire beaucoup plus tôt. J'ai du mal car j'ai l'impression de les abandonner, mais plus j'attends moins il devient compréhensible que je ne l'ai pas dit il y a des semaines.