Rendez-vous à 10 heures à Neuilly. Descente à Cahors pour deux jours d'aviron.
Je dors, je lis et je conduis, dans cet ordre-là.

A l'arrivée, interloquée par les réactions de mon compagnon de route, qui s'esbaudit sur Cahors comme s'il n'avait jamais vu une ville de province française. («Et c'est bôôô», songé-je à Coluche, Dominique et Olivier). Et de râler contre le temps «parce que c'est moins beau sur les photos».

Fête de la musique (oups!). Cadurciens charmants, restaurant qui nous ouvre sa terrasse (il était complet) après avoir constaté en quelques coups de fil que nous ne trouverons pas de table pour huit dans tout Cahors.
Je bois beaucoup, et le Cahors ne fait pas mal à la tête.