Levés tard, trop tard pour faire tout ce qu'il reste à faire : courir jusqu'au bout de la ville, aller voir l'imprimeur, revoir le Carpaccio…

Eglise jésuite.

San Michele. Stravinsky, Diaghilev, Pound, Brodsky. Brodsky a changé.

Déjeuner au restaurant près de la fac ou cité universitaire. Le décor du restaurant est raccord avec l'église proche. Enorme assiette de fruits de mer frits.

Les deux bandes blanches sur les murs.

Errance : je voulais revoir Carpaccio mais mes compagnons ne sont pas motivés. La fondation Olivetti est fermée. Nous allons prendre un café au «Café» Campo Santo Stefano. Il fait doux au soleil.

Marie doit partir pour un rendez-vous. Nous rentrons chercher nos valises, dire au revoir à Jules. Fondamenta Nove, achat de billets (inutiles puisque nous avion pris un aller-retour — mais nous l'avions oublié).
Nous ne pouvons pas monter dans le premier vaporetto pour l'aéroport — il est plein. Deuxième vaporetto, nous passons les différents contrôles.

J'écris à une table dans l'aéroport. Nous avions une heure et demie d'avance (19h), l'avion a une heure de retard (21h40).
L'aéroport propose du wifi. Beaucoup de temps pour bloguer.
Je vais être fatiguée demain.