Il pleut quand j'arrive à Melun. Une semaine plus tard, il pleut encore, il pleut toujours… 26 mn d'ergo (c'est précis, le temps de faire 5 km, ce qui est très mauvais temps, ne cherchez pas).
Les vestiaires ont été débarrassés de la plupart des vêtements qui traînaient sur les porte-manteaux (on voit que c'est les vacances et que les principaux championnats sont passés); j'ai la surprise de reconnaître mon jean perdu depuis octobre parmi les quelques nippes encore pendues.

Marché. Sieste.
J'essaie de faire des listes : à lire (pour l'été, pour la vie), à apprendre (grec et allemand), à faire (ranger, classer, jeter). Toujours les mêmes listes, cela me rend perplexe. Cela me fait rire, maintenant (à une époque cela me désespérait).

Ah oui, une chose importante: je viens de me rendre compte que le 11, nous avons payé la dernière échéance de notre prêt immobilier. La maison est désormais à nous. (Quinze ans, p***, quinze ans).