L'année dernière, j'avais découvert l'existence de Constantin von Tischendorg.

Cette fois-ci, je découvre Agnes Smith Lewis et Margaret Dunlop Gibson : «Mais si, vous savez bien, les deux sœurs qui parlaient vingt-quatre langues à elles deux… C'était des jumelles, elles avaient été élevées de façon très particulière par leur père…»

Cela à propos du Siracide (L'ecclésiastique, à ne pas confondre avec L'Ecclésiaste), dont elles ont découvert des versions majeures en syriaque.
Le Siracide reste un livre mystérieux (voir l'article de Maurice Gilbert : «Où en sont les études sur le Siracide?»)

Mais pourquoi ce genre de femmes sont-elles toujours anglaises? Elles n'ont même pas un article dans le Wikipedia français (article en trois langues: anglais, hébreu, néerlandais).