Il faut bien le reconnaître, je m'ennuie. Plus de littérature, plus de cruchons, plus de Daniel Ferrer; plus de théologie (qui malgré mon espoir n'a jamais réussi à remplacer la littérature); bien moins d'aviron (mais l'ergo me tuait); un boulot qui consiste globalement à repeindre et remettre en ordre le salon du Titanic avant qu'il ne coule…

Je ne sais pas quoi faire de ma peau.
L'impression des Bourreaux de Staline ne s'effaçant pas, j'ai sorti Pour une juste cause de la bibliothèque. Pause dans la lecture de Balzac.
J'ai commencé Vigil (Arte) en faisant la vaisselle. Ça paraît prometteur.