Après la yolette hier, encadrement de bateaux "mono" (des planches à ramer insubmersibles pour débutants).

Après la sortie, café. (J'insiste sur l'importance du café: «quand vous saurez ramer, vous rejoindrez l'ensemble des rameurs. Pour qu'ils vous proposent de venir avec eux, il faut qu'ils vous connaissent. Pour cela, il faut prendre le café.»)

C'est à la bonne franquette et comme les nouveaux hésitent, JP déclare pour les encourager: «Servez-vous, n'ayez pas peur, c'est un kibboutz ici.»

Je regarde les jeunes (trente ans?), je souris intérieurement, m'approche de Sonia, lui demande en apparté:
— Tu sais ce que c'est, un kibboutz?
— Non, je regarderai sur Google en rentrant.
J'interpelle: — JP, tes références sont datées, je doute qu'ils sachent ce qu'est qu'un kibboutz.
JP: — Un kibboutz? C'est un kolkoze !